cahier de textes français/Histoire/géo du 4/11 au 18/11

17 novembre 2013

TCAPC : français : révision de conjugaison (4 verbes/5 temps) ; révision de grammaire (accord verbe/sujet) ; devoir noté sur accord verbe sujet

Histoire : guerres et conflits au 20ème siècle (généralités/vocabulaire)

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1 COM : français : l’homme face aux avancées scientifiques et techniques (généralités)

Histoire : Etre ouvrier en France (3 leçons) ; devoir noté sur grève des mineurs de Carmaux/Jean Jaurès

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TB3e1/e2 : français : identité et diversité

géographie : espace productif et décisionnel / devoir noté sur espace productif et décisionnel

TB3 E2/E1 géographie

17 novembre 2013

THEME : LES TRANSFORMATIONS DE L’ESPACE PRODUCTIF ET DECISIONNEL.

 

1) Problématique du thème : Comment la mondialisation
modifie-t-elle les dynamiques des territoires français ?

 

2) Introduction du thème : Depuis cinquante ans, le système
productif français s’est transformé et ouvert sur les échanges internationaux.
Certains territoires concentrent de plus en plus d’activités, alors que
d’autres doivent se reconvertir.

 

Leçon 1 : Les espaces dynamiques :

1) Problématique : quels territoires produisent le
plus de richesses ?

 

2) Les mutations du système productif
:

A La tertiarisation :

Depuis 1975, l’emploi recule dans
l’agriculture et dans l’industrie (les machines remplacent les hommes). Le
secteur tertiaire, par contre, se développe fortement (ce secteur produit   75 % de la richesse nationale). La France a
besoin de conception (concepteurs créateurs), de commercialisation
(commerciaux, investisseurs), de culture (le cinéma français se vend très
bien), et de tourisme (le tourisme français se porte bien et rapporte beaucoup
d’argent à la France) : tout ceci explique l’essor du secteur tertiaire.

 

B) L’internationalisation :

L’union européenne et la
mondialisation favorisent les échanges et les investissements étrangers.
L’aéronautique, l’électronique et l’industrie pharmaceutique se vendent bien
car ces industries de pointe ne craignent pas la concurrence des pays
émergents.

 

3) Le rôle croissant des métropoles :

 

A) La métropolisation, en France :

TB3 E1/E2 français

17 novembre 2013

THEME : IDENTITE ET DIVRSITE.

 

Leçon 1 :
généralités sur le thème.

1) Problématique :

- En quoi l’autre est-il semblable ou
différent ?

- Comment transmettre son histoire,
son passé, sa culture ?

- Doit-on renoncer aux spécificités de
sa culture pour mieux s’intégrer à la société ?

 

2) Introduction :

Nous sommes tous différents, tout
sépare les peuples : le physique, la culture, la religion. Nous n’avons rien en
commun avec les autres : pas le même passé, pas le même présent, pas le même
avenir. Nous nous croyons supérieurs, civilisés, mais comment l’autre nous
voit-il ? Qui est le plus à plaindre : celui qui s’empiffre et souffre
d’obésité, ou celui qui ne peut pas se nourrir et souffre de malnutrition ?

 

3) La littérature de la colonisation
et de la décolonisation :

- A partir du 19ème siècle, la
colonisation de l’Afrique et de l’Asie s’accélère. Les récits littéraires du
18ème siècle nous racontent le romantisme et l’exotisme de ces pays lointains.
La littérature du 19ème siècle, par contre, se transforme et nous parle surtout
de violence et de domination. Jusqu’au début du 20ème siècle, les écrivains
nous décrivent ces colonies, ces peuples lointains comme des sauvages, des
barbares dangereux et sans culture. Les buts de cette littérature coloniale sont
de montrer une certaine réalité, mais aussi de justifier la colonisation et sa
fonction civilisatrice.

- Après la deuxième guerre mondiale,
la décolonisation va commencer, et la littérature se transformer. Désormais,
les écrivains vont dénoncer le colonialisme, et défendre les peuples colonisés,
opprimés : le français n’est plus la langue de la domination, mais celle de
l’égalité entre les peuples.

 

4) Les récits de voyage :

1COM HISTOIRE

12 novembre 2013

THEME 1 : ETRE OUVRIER EN FRANCE (1830-1975)

 

Leçon 1 : Les mutations du travail ouvrier.

 

Problématique : Comment le
monde ouvrier évolue-t-il ?

 

1) La diversité des
travaux ouvriers (1830-1870) :

 

- Les usines sont petites.
Quelques ouvriers sont très qualifiés, mais la plupart ne le sont pas : ils
viennent de la campagne, et sont absents des usines lorsque le travail agricole
l’exige. Ces campagnards supportent mal les règlements de l’usine.

 

- A la Révolution française
(en 1789), la France comptait 400 000 ouvriers. Vers 1840, ils étaient 1.2
million (et 3 millions en 1870).

 

 

2) La mise en place du
travail morcelé (1870-1950) :

 

- Plutôt que de participer à
la fabrication complète d’un produit (ce qui demande beaucoup de
connaissances), l’ouvrier ne doit en fabriquer qu’une toute petite partie (il
exécute toujours la même tâche, et ,n’a pas besoin de beaucoup de
connaissances. C’est ce que pense l’Américain Taylor (cette méthode va s’appeler
« le taylorisme ». Plus tard (dans les années 1900), l’Américain met
au point, dans ses usines de voitures, le travail à la chaîne : l’ouvrier ne
doit plus se baisser, se déplacer (fatigue et perte de temps), c’est le travail
qui vient à lui, transporté par des tapis (ou des chaînes, au plafond).

 

- Le nombre d’ouvriers
d’industrie augmente considérablement, au début du 20ème siècle : 4.7 millions
en 1911 ; 7 millions en 1931 (beaucoup de travail dans les mines, la
métallurgie, l’industrie automobile).

 

 

3) L’automatisation du
travail (1950-1975) :

 

L’automatisation (machines,
robots, robotisation) se développe à partir de 1950. Il y a encore 8.2 millions
d’ouvriers en 1975, mais ce nombre va beaucoup diminuer par la suite (une
machine remplace plusieurs ouvriers).

 

 

4) Vocabulaire :

 

O.S.                            : ouvrier spécialisé, sans réelle
qualification, spécialisé                                       sur quelques tâches faciles et rapides.

 

Ouvrier                        :
salarié qui effectue un travail manuel.

 

Travail à la chaîne        :
organisation du travail qui divise une tâche en                                                             plusieurs opérations simples, spécialise les
activités                                           des ouvriers et supprime les déplacements
inutiles.

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Leçon 2 : L’organisation
du mouvement ouvrier.

 

Problématique :  Comment le monde ouvrier devient-il puissant
?

 

1) 1830-1880, Les premiers
soulèvements :

 

- La loi « Le
Chapelier » (de juin 1791) interdit aux ouvriers de se réunir, de s’unir
(trop dangereux pour le pouvoir).

 

- Des révoltes, des émeutes,
des grèves éclatent dans les usines. Ces grèves étant illégales (interdites par
la loi), elles sont réprimées par l’armée ou la police.

 

 

2) L’organisation des
syndicats :

 

- Ce n’est qu’en 1884 que va
être accordé le droit de se syndiquer. Le premier syndicat va naître en 1895 :
c’est la C.G.T. (Confédération Générale du Travail).

 

- Un syndicat ne doit pas
faire de politique, mais seulement s’occuper des conditions de vie des
syndiqués (négocier avec les patrons, organiser les grèves, etc.).

 

- Les gouvernements (le
pouvoir politique) doivent négocier avec les syndicats (très puissants, en cas
de grève), et accorder des avantages sociaux (repos hebdomadaire, journée de
huit heures, etc.).

 

 

3) L’intégration
républicaine :

 

- L’Etat organise les
négociations entre le patronat et les syndicats (les accords de Matignon, en
1936, et les accords de Grenelle, en 1968). Chaque fois, les syndicats ont
obtenu des avantages sociaux très importants pour les ouvriers.

 

- En 1950, un ouvrier sur
deux était syndiqué (et seulement un sur quatre en 1970) : perte de puissance
des syndicats.

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Leçon 3 : La vie et la culture ouvrières.

 

Problématique : Quels sont
les traits dominants de la vie et de la culture ouvrières ?

 

1) L’évolution du budget
ouvrier :

 

- Dans les années 1870,
l’ouvrier consacrait les trois quarts de son salaire (75 %) à l’alimentation
(peu de viande, beaucoup de pain). Les dépenses alimentaires vont diminuer
ensuite, pour ne plus représenter que 25%, en 1980.

 

- Le pouvoir d’achat des
ouvriers augmente régulièrement, depuis 1870 (augmentation régulière des
salaires). Les allocations familiales, les aides sociales, les logements
ouvriers prêtés par les patrons font aussi grossir le pouvoir d’achat.

 

 

2) La construction d’une
identité ouvrière :

 

L’ouvrier souhaite un
environnement plus humain, c’est pourquoi des photos, des dessins sont
accrochés sur les machines. On appelle « aquarium », ou

« bocal », ou « passerelle » le bureau vitré du chef
d’atelier. Le bureau du patron, lui, s’appelle « le château ».

 

 

3) Le développement d’une
culture ouvrière :

 

- C’est grâce aux besoins du
monde ouvrier que se sont développés le livre bon marché, les bibliothèques
municipales, la radio. En effet, les ouvriers sont trop pauvres pour acheter
des livres chers, ou pour aller voir un spectacle.

 

- Dans les années 1930, la
culture s’installe dans les quartiers ouvriers (troupes théâtrales, cinémas,
centres culturels, etc.).

 

 

4) Vocabulaire :

 

Sociabilité : façon de vivre en société, en tenant compte
de la famille, du

voisinage et des collègues de travail.

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1COM FRANCAIS

14 septembre 2013

Thème
1 : L’homme face aux avancées scientifiques et technologiques (enthousiasme et
interrogations).

Leçon 1 : Les progrès de la science.

 

1) Introduction :

L’homme a toujours cherché à
comprendre pour améliorer sa vie, mais depuis le 19ème siècle, les découvertes
se sont accélérées.

 

2) Rupture de la science moderne :

L’homme a toujours eu peur du progrès
et de la science (16ème/18ème siècles).

 

a) L’affaire Galilée :

- l’Eglise (le pape) prétend que la
Terre est le centre de l’univers et que tout tourne autour d’elle (il ne peut
en être autrement, puisque c’est la création de Dieu). ais à la fin du 16ème
siècle, Copernic (un astronome) prétend le contraire, et affirme que c’est la
Terre qui tourne autour du soleil.

- Au siècle suivant, Galilée (un
autre astronome) reprend la théorie de Copernic (la Terre n’est pas le centre
de l’univers). Galilée est arrêté par le pouvoir religieux, torturé, menacé de
mort (le bûcher) : il doit renoncer à sa théorie.

 

b) Le culte de la raison :

Au 18ème siècle (le siècle des
« Lumières »), les philosophes (qui raisonnent et réfléchissent) n’ont
plus peur de l’Eglise, du pouvoir religieux. La population apprend beaucoup de
choses grâce à eux.

 

3) L’engouement pour le progrès :

19ème siècle, le progrès, beaucoup de
découvertes : la mortalité recule (médecine, alimentation).

 

a) La révolution industrielle et ses
effets :

- La vie des hommes change : progrès
dans l’agriculture (les famines disparaissent). L’apparition des vaccins permet
de soigner certaines maladies. Le métier à tisser, la machine à vapeur, la
fabrication de l’acier, les premières usines, de nouvelles richesses.

- En même temps, les gens ont peur du
progrès (beaucoup pensent qu’il est dangereux de se déplacer à plus de 50
kilomètres/heure.

- Des changements sociaux aussi :
beaucoup de paysans deviennent ouvriers dans les usines, en ville.

 

b) La croyance au progrès :

Le positivisme est une philosophie
qui affirme que la science, en progressant, va résoudre tous les problèmes de
l’homme. L’école devient obligatoire, gratuite et laïque (les gens apprennent à
lire et à écrire).

 

4) Une accélération qui fait débat :

- Au 20ème siècle, les progrès
s’accélèrent : automobile, aviation, conquête de l’espace / centrales
thermiques, centrales nucléaires / antibiotiques, thérapie génique / téléphone
fixe, téléphone mobile, internet / espérance de vie.

- Mais en même temps, les guerres se
multiplient : armes chimiques, bombe atomique, aviation de combat, etc. Le
progrès n’a pas que des bons côtés (il fait aussi beaucoup de mal).

La bienvenue sur mon blog

6 juin 2009

Bonjour à tous et à toutes. Veuillez placer ce blog dans vos favoris, car il vous sera très utile, durant toute l’année. Vous y trouverez les cours étudiés en classe. Bon courage.